L’ONG Solidarité féminine pour le développement (Sofepadi) regrette que les frais de justice découragent les victimes de violences sexuelles à porter plainte en Ituri. Sa chargée des programmes, Louise Tajeki, affirme que des dossiers sur les violences sexuelles sont bloqués devant certaines juridictions, les victimes étant incapables de s’acquitter de certains frais.
“Il faut avoir l’argent pour avoir accès à la justice. Ça bloque un peu la situation au niveau de la justice”, deplore-t-elle.