La nouvelle structure de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR-III) ne dispose pas d’assez de moyens logistiques et financiers. Le ministre de la Défense, Alexandre Luba Ntambo a confirmé sa mise en place. Cependant, Il a indiqué que cette structure aura besoin de l’appui de la communauté internationale comme les précédentes.
« Les moyens se libèrent mais pas au même rythme que les groupes armées se rendent », a expliqué le ministre de la Défense.
Il a annoncé une rencontre prochaine entre la Monusco et le gouvernement pour que les deux parties finalisent « les petites divergences qui existent entre eux quant à la manière d’appliquer le plan de démobilisation et de désarmement ».
