Caritas: consultant

TERMES DE REFERENCE
Evaluation externe à mi- parcours du Programme quinquennal (2013-2017) d’appui à la sécurité alimentaire dans les Diocèses de Kindu, Kisantu et Kongolo.
Contrat n° 113 – 223

Titre : Consultant pour une mission d’évaluation externe du Programme quinquennal (2013-2017) d’appui à la sécurité alimentaire dans les Diocèses de Kindu, Kisantu et Kongolo, financé par l’Agence Norvégienne pour le Développement International (NORAD) à travers la Caritas Norvège.

Durée et période : 13 jours
Organisations partenaires : Caritas Norvège, Caritas Congo asbl, Caritas Développement Kindu, Caritas Développement Santé Kisantu et Caritas Développement Kongolo.
Lieu : Kinshasa, Kisantu, Kindu et Kongolo en République Démocratique du Congo
1. CONTEXTE
Dans le cadre de la poursuite du partenariat entre la Caritas Congo asbl et la Caritas Norvège, signé depuis novembre 2011, il a été initié avec l’accompagnement de la Caritas Congo asbl un programme quinquennal d’appui à la sécurité alimentaire (PQ SECAL 3K) dans trois Diocèses, à savoir Kindu, Kisantu et Kongolo, après l’évaluation du projet pilote exécuté du 1er juin au 31 décembre 2012 dans les Diocèses de Kindu et Kisantu. D’une durée de 5 ans (2013 – 2017), ce programme, financé par l’Agence Norvégienne pour le Développement International (NORAD) à travers la Caritas Norvège, a démarré officiellement ses activités le 1er mai 2013.

Ce programme d’appui à la de sécurité alimentaire a comme objectif, l’amélioration des conditions de vie de 5.698 ménages paysans producteurs à Kindu, Kisantu et Kongolo. Il est conjointement mis en œuvre par la Caritas Norvège, la Caritas Congo asb, la Caritas Développement Kindu, la Caritas Développement Santé Kisantu et la Caritas Développement Kongolo.
Le programme a été financé par l’Agence Norvégienne pour le Développement International (NORAD) à hauteur de 4.670.000,00 NOK, soit 3.827.709,25 USD à raison de 755.541,85 USD l’an. La signature du contrat de subvention entre la Caritas Congo asbl et la Caritas Norvège est intervenue le 03 septembre 2013.
Le PQ SECAL 3K appuie les ménages paysans producteurs dans les Diocèses de Kindu/Province du Maniema (à Lubao, Lufumbe, Malela et Scimemas), de Kisantu/Province du Bas – Congo (à Banna, à Kinsiona, à Mvululu et à Tampa) et de Kongolo/Province du Katanga (à Lubunda et à Katea).
Le choix de ces régions se justifie aussi bien par des contraintes que par des atouts des milieux identifiés face à la problématique de la sécurité alimentaire. L’action constitue, à cet effet, une opportunité pour répondre aux défis de l’insécurité alimentaire qui caractérise la RDC en général et les Diocèses de Kindu, Kisantu et Kongolo en particulier.
La population des sites ciblés, sont réputées dynamiques et sont capables de déployer une grande énergie pour produire, couvrir les déficits alimentaires et approvisionner, pour peu, les débouchés existants
Le groupe cible du programme est constitué de 5.698 ménages ruraux regroupés en organisations de producteurs agricoles (OPA) et Comités Villageois de Développement (CVD). Ces ménages agricoles impliqués et bénéficiaires directs du programme sont des paysans qui vivent d’une agriculture essentiellement vivrière.
Le programme couvre 7 axes d’intervention avec des « objectifs spécifiques » correspondants. Ces axes sont : la sécurité alimentaire, l’environnement, la commercialisation des produits agricoles, la démocratie et les droits humains, le genre, la consolidation de la paix et le renforcement des capacités.

Depuis le démarrage officiel du projet en mai 2013, plusieurs activités ont été réalisées au niveau de chacun des 7 objectifs spécifiques. Elles ont, ainsi, permis d’obtenir un certain nombre de produits (out puts) et de résultats (out comes) concrets. Elles ont permis en outre d’atteindre quelques objectifs spécifiques. Au cours de cette période, le programme a également fait face à de nombreuses difficultés et contraintes dans sa mise en œuvre. Ces difficultés ont certainement diminué l’impact, les effets, l’efficacité et l’efficience des interventions menées.
Le programme a mis en place de mécanismes de suivi – évaluation aussi bien internes qu’externes à tous les niveaux. Le premier mécanisme est assuré par le Comité de Coordination, composé des représentants de la Caritas Novège, de la Caritas Congo asbl et de 3 Caritas Diocésaines, qui se réunissent une fois l’an pour faire le bilan de toutes les activités réalisées et des résultats atteints, mais aussi prendre des mesures correctives pour l’amélioration des écarts constatés. Le second est porté par les Responsables de la mise en œuvre du projet au niveau de la Caritas Congo asbl à travers les missions de courte durée, effectuées dans le cadre de la dynamique d’accompagnement de proximité personnalisé et d’appui conseil technique et financier. Le troisième est mis en œuvre au niveau de chaque Caritas Diocésaine à travers les Directeurs des Bureaux Diocésains de Développement (BDD), les Coordinateurs terrains et leurs équipes techniques ainsi que les bénéficiaires directs dans une approche participative et reponsabilisante de suivi-évaluation à la base.
En dehors de ces mécanismes internes, le programme a prévu sur le terrain : des missions de suivi de la qualité par le Secrétariat Exécutif de la Caritas Congo asbl, les évaluations externes et les audits financiers annuels.
La présente mission d’évaluation à mi-parcours du PQ SECAL 3K s’inscrit pleinement dans le cadre de la mise en œuvre de ces mécanismes en vue d’améliorer les stratégies d’intervention et du fonctionnement du programme partant des enseignements tirés de l’analyse globale de la situation sur la période de 24 mois passés sur les plans de la rentabilité, de l’efficacité et de l’impact.
2. RESUME DU PROJET
De façon synthétique le projet se présente de la manière suivante :
Titre du projet Programme quinquennal d’appui à la sécurité alimentaire dans les diocèses de Kindu, Kisantu et Kongolo
Lieux d’exécution Kindu, Kisantu et Kongolo
Durée totale et période de mise en œuvre de l’action 60 mois, soit du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017
Objectifs de l’action (voyez le cadre des résultats pour plus de détails) Objectif Général : Les conditions de vie de 5.698 ménages paysans producteurs à Kindu, Kisantu et Kongolo sont améliorées.
Objectifs Spécifiques :
• La sécurité alimentaire est augmentée chez le groupe cible du projet d’ici 2017;
• Les connaissances sur l’exploitation des ressources et les techniques culturales durables chez le groupe cible sont améliorées d’ici 2017 ;
• Les ménages paysans cibles ont renforcé leurs capacités de commercialisation des produits agricoles d’ici 2017 ;
• Le groupe cible est mieux préparé pour la participation civique par une connaissance augmentée sur le VIH et le SIDA, les pratiques démocratiques, les droits humains et civiques d’ici 2017;
• L’égalité sociale entre les femmes et les hommes a augmenté dans le groupe cible d’ici 2017;
• Les conflits entre paysans dans les zones du programme sont résolus de manière pacifique d’ici 2017;
• Caritas Congo et les trois Caritas diocésaines ont augmenté leurs capacités d’agents de changement d’ici 2017.
Partenaire (s) Caritas Norvège, Caritas Congo asbl, Caritas Développement Kindu, Kisantu et Kongolo
Groupe (s) cible (s) 5.698 ménages paysans producteurs à Kindu (Lubao, Lufumbe Malela et Scimemas), à Kisantu (Bana, Kinsiona, Mvululu et N’tampa) et à Kongolo (Katea et Lubunda).
Bénéficiaires finaux La population paysanne de la zone d’intervention et les consommateurs des centres de consommation (Kindu, Kongolo, Kalemie, Kisantu et Kinshasa).
Effets attendus • Sécurité alimentaire améliorée
• Environnement local restauré.
• Commercialisation des produits agricoles facilitée.
• Participation civique et connaissance des droits humains, du VIH et du SIDA ainsi que des pratiques démocratiques augmentées ;
• Egalité sociale entre les femmes et les hommes promue ;
• Conflits entre paysans dans les zones du programme résolus pacifiquement ;
• Capacités d’intervention et de gestion de Caritas Congo ainsi que des Caritas Diocésaines de Kindu, Kisantu et Kongolo améliorées
Principales activités • Sécurité alimentaire :
• Formation des ménages paysans cultivateurs et éleveurs sur les techniques culturales et d’élevage améliorées, l’apiculture, la production et la conservation des semences améliorées;
• Structuration des groupements paysans cultivateurs et éleveurs;
• Mise en place des champs communautaires de multiplication des semences (manioc, maïs, arachide, sésame, soja, haricots, riz,…);
• Accompagnement des ménages dans l’application des techniques culturales et d’élevages améliorées;
• Organisation des échanges inter associations ;
• Environnement:
• Formation de leaders communautaires sur les techniques de reboisement;
• Sensibilisation et formation des ménages cultivateurs et éleveurs sur la gestion des ressources naturelles et sur le changement climatique ;
• Vulgarisation des pratiques de gestion intégrée de fertilité des sols et d’exploitation durable des terres agricoles (Tithonia, stylosanthes,…);
3. Commercialisation
• Sensibilisation des ménages cultivateurs et éleveurs sur la conservation, le stockage et la commercialisation des produits agricoles;
• Sensibilisation des ménages cultivateurs et éleveurs à l’esprit coopératif et d’entreprise ;
• Structuration des CVD en cellules coopératives et en coopératives;
• Formation des dirigeants en administration et gestion des coopératives;
• Structuration de 4 caisses de micro finance rurale;
• Visites annuelles d’échanges d’expériences entre CVD;
• Initiation des paysans producteurs sur la construction des infrastructures de conservation des produits agricoles;
• Formation des paysans producteurs sur la gestion des produits de récolte ;
• Facilitation du circuit d’évacuation des produits agricoles vers les centres de commercialisation.
4. Démocratie et droits humains
• Formation et sensibilisation des leaders communautaires et des ménages cultivateurs et éleveurs sur les pratiques démocratiques, les droits et les devoirs civiques, la consolidation et l’édification de la paix;
• Formation des membres de noyaux des CVD sur l’organisation, la gestion et l’animation des Organisations de Base (OB) ;
• Mise en place d’un cadre des activités de droits de l’homme et des questions du VIH et du SIDA ;
• Dialogue social entre les autorités politico administratives et les leaders communautaire sur la bonne gouvernance;
• Vulgarisation de la loi relative à la protection des enfants et des personnes vulnérables;
• Organisation des Journées “arrêtons/ Stop VIH et SIDA”.
5. Genre
• Sensibilisation et formation des leaders communautaires sur l’égalité de chance entre l’homme et la femme;
• Journées de réflexion sur l’égalité de chance entre l’homme et la femme;
• Tribunes débats avec les élus sur les thèmes divers liés à la démocratie et aux droits des citoyens;
• Atelier annuel de réflexions sur la bonne gouvernance;
• Sensibilisation sur l’égalité des droits et des chances entre les sexes et sur les questions d’épanouissement économiques des femmes;
• Créer 4 centres initiatiques pour introduction des Ecoles Familiales Paysannes et Agricoles / écoles de vie pour les enfants sur l’apprentissage du genre.
6. Consolidation de la paix
• Créer et redynamiser 6 barzas inter communautaires pour la résolution pacifique des conflits ;
• Formation de 40 chefs de terres sur la loi foncière;
• Redynamiser la structure d’intermédiation des conflits entre les paysans.
7. Renforcement des capacités
• Plaidoyer auprès des autorités gouvernementales locales et nationales sur 5 questions majeures/préoccupations des ménages bénéficiaires ;
• Développement d’une politique sur l’égalité de chances ainsi que sur le VIH et le SIDA ;
• Acquisition d’un terrain d’expérimentation et de production des spéculations végétales et animales au Plateau de Batéké ;
• Formation des formateurs des structures locales sur l’organisation et la structuration et mouvements paysans ;
• Formation des membres des associations des PP sur l’organisation et la gestion d’une association ;
• Mise à niveau du personnel clé sur la mise en œuvre, la gestion, le suivi et l’évaluation ;
• Organisation d’un paquet d’actions de visibilité du projet.
3. OBJECTIF ET PRODUIT DE LA MISSION
L’objectif global de la mission d’évaluation externe à mi-parcours est de mesurer le plus exhaustivement possible, le niveau des résultats obtenus et des progrès réalisés vers l’atteinte des objectifs tant spécifiques par rapport aux prévisions de départ et l’efficacité des structures partenaires ainsi des stratégies de mise en œuvre déployées en termes d’organisation et de fonctionnement.

De façon plus précise, la mission devra :
• Passer en revue, les activités mises en œuvre, les résultats obtenus ainsi que les progrès réalisés au niveau de chacun des objectifs spécifiques du programme dans les axes de sécurité alimentaire, environnement, commercialisation, genre, VHI et SIDA, paix et plaidoyer, renforcement des capacités ;
• Identifier les résultats non planifiés et les effets négatifs (s’il y en a)
• Identifier et analyser tous les forces et les faiblesses des stratégies d’intervention mise, notamment celles liées à la planification, à la mise en œuvre, au monitoring et aux différents outils de gestion opérationnelle mis en place ;
• Proposer et mettre à la disposition de l’équipe de gestion du programme, des ajustements stratégiques efficients et pertinents permettant au programme d’améliorer sa rentabilité, son efficacité, la pérennité des actions et son impact sur les ménages agricoles bénéficiaires ;
• Evaluer si les investissements et les coûts opérationnels sont justifiés compte tenu des objectifs du programme ;
• Evaluer l’intégration et l’inclusion des groupes vulnérables et priorités transversales dans le programme (l’égalité des chances, des personnes avec des déshabilités, l’environnement ;
• Identifier et analyser d’éventuelles – conséquences imprévues de la méthodologie appliquée (Dépendance « handouts »), les conflits (traitement préférentiel, etc.) ;
• Vérifier si les partenaires à tous niveaux sont familiarisés avec les approches « Do No Harm et la sensibilité aux conflits ;
• Analyser jusqu’à quelle point les objectifs du programme sont encore pertinents/valides ;
• Evaluer les la responsabilisation dans le contrôle des ressources à tous les niveaux de l’organisation / programme et les mesures anti-corruption en vigueur.
L’attente essentielle de l’équipe du programme à travers cette mission est la proposition de recommandations concrètes et faisables (en fonction des ressources humaines et des moyens financiers à disposition) pour améliorer/réorienter, si nécessaire, les stratégies d’intervention mises en place dans le programme afin d’/de :
• assurer la durabilité du programme
• améliorer l’accès des ménages agricoles aux intrants agricoles (semences et géniteurs améliorés) et augmenter leur production ;
• diffuser et permettre une réelle appropriation de pratiques culturales, d’élevage durables et économiques identifiées dans la zone du programme ;
• rentabiliser le dispositif de règlement pacifique de conflits mis en place ;
• assurer le renforcement, la structuration des OPA/CVD/Réseau associatif afin qu’à long terme ces organisations puissent gérer par elles-mêmes le dispositif de commercialisation mis en place par le programme ;
• améliorer la participation des ménages agricoles dans le processus démocratique et de défenses de leurs doits ;
• améliorer la connaissance des ménages agricoles sur l’égalité de chance entre l’homme et la femme ;
• améliorer la capacité de Caritas Congo asbl et des 3 Caritas Diocésaines comme acteurs de changement.
Le principal produit attendu à la fin de la mission d’évaluation se présente en ces termes :
• Un rapport présentant les résultats obtenus et les progrès réalisés par le programme, les problèmes identifiés au niveau de chaque objectif spécifique ainsi que des recommandations stratégiques et opérationnelles concrètes pour améliorer les résultats prévus, l’efficacité, la pérennité et l’impact du programme a été mis à la disposition de la Caritas Norvège, la Caritas Congo asbl, les Caritas Développement Kindu, Kisantu et Kongolo.
4. METHODOLOGIE
La méthodologie pour la réalisation de cette mission d’évaluation externe à mi-parcours est laissée à l’initiative du consultant. Tout en se basant sur le cadre logique, les étapes ci-dessous devront toutefois être respectées :
• la revue documentaire ;
• les entretiens avec les différentes parties prenantes ;
• les visites sur terrain.
Les documents suivants seront mis à la disposition de consultant pour préparer sa mission :
• document projet + budget prévisionnel + cadre logique (consolidés et de chaque partenaire) ;
• rapports d’activités consolidés 2013 et 2014 (narratifs et financiers) + ceux de chaque partenaire;
• rapports de missions de Caritas Congo asbl ;
• les plans d’action 2013 et 2014 (consolidés et celui de chaque partenaire).
Pour faciliter son travail, la Caritas Congo asbl prévoit une réunion préalable avec lui à Kinshasa pour discuter en détail du contexte, de la présentation et des réalisations du programme. Cette rencontre est aussi indispensable pour préciser les termes de référence de la mission surtout en ce qui concerne l’approche méthodologique à adopter.
A la fin de la mission, une restitution mettant en exergue les principales conclusions et recommandations pour la suite sera faite et discutée à Kindu, à Kinsantu et à Kongolo avec les équipes opérationnelles basées sur le terrain et à Kinshasa auprès du Coordonnateur National du Service de Promotion du Développement et du Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo asbl.
5. COMPETENCES REQUISES
Le consultant/Cabinet doit disposer d’une expérience prouvée dans l’évaluation des projets de développement, notamment la sécurité alimentaire.
En plus, le consultant devra avoir les qualités suivantes :
• bonne compréhension des questions liées au développement agricole et aux ONG impliquées dans ce domaine ;
• bonne connaissance et expérience de travail avec les structures de Caritas
• bonne capacité de communication orale et écrite (en français) ;
• capacité à produire un travail de qualité ;
• objectivité, honnêteté, réalisme ;
• respect des échéances ;
• ayant fait ses preuves avec d’autres ONG.

La connaissance du contexte de la RDC et de la zone sera appréciée à sa juste valeur.
6. CALENDRIER
La mission aura une durée de 13 jours devant être répartie de la manière suivante :
• Réunion briefing à Kinshasa avec le Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo asbl, le Coordonnateur National du SPD et le Chargé de Programme ;
• Consultation des documents : 3 jours, du 1er au 3 juin 2015 ;
• Mission sur terrain : 5 jours, du 04 au 09 juin 2015 ;
• Finalisation du rapport provisoire : le 12 juin 2015 ;
• Remise du rapport provisoire : le 17 juin 2015 ;
• Remise du rapport final : le 18 juin 2015.
7. BUDGET
Le budget disponible pour cette prestation est confidentiel.
8. RAPPORT
Une synthèse de maximum 4 pages du rapport est demandée. Elle reprendra les principales conclusions et mettra surtout en évidence les recommandations pour la suite.
Le rapport détaillé doit être de 30 pages maximum (sans les annexes).
Une version transitoire devra être transmise au plus tard 15 jours après la fin de la mission auprès des 5 partenaires de mise en œuvre (Caritas Norvège, Caritas Congo asbl, Caritas Développement Kindu, Caritas Développement Santé Kisantu et Caritas Développement Kongolo).
Sur la base des commentaires transmis par l’ensemble des partenaires, le rapport définitif sera transmis au plus tard 1 mois après la fin de la mission.
9. MODALITES DE LA SOUMMISSION
Les Consultants intéressés sont invités à soumettre le Curriculum Vitae détaillé ainsi qu’une proposition technique et financière de 6 pages maximum et transmettre la version papier à Monsieur le Secrétaire Exécutif de la Caritas Congo asbl, 26, Avenue Basoko, Kinshasa – Gombe et par courriel à [email protected] avec copie pour information à [email protected].
Date limite de dépôt : le 26 mai 2015 à 16h00
Cela veut dire la connaissance des élections démocratiques, de la nature de la gouvernance démocratique, des voies disponibles pour exercer l’influence politique, et connaissance des procès politiques contemporains.