Les habitants d’Isiro, en Province orientale, à plus de 500 de Km de Kisangani, refusent de plus en plus de se soumettre au prélèvement d’échantillons de sang en cas de suspicion de contamination au virus d’Ebola.
La société civile dit s’inquiéter ce cette résistance observée notamment à Bede, une localité située à une dizaine de kilomètres d’Isiro.
Les habitants cette localité craignent de perdre tous les biens, du fait que les biens du malade décédé suite à l’hémorragie d’Ebola sont carrément brulés. Ils exigent auparavant d’être dédommagés.
Les commissions mobilisation sociale et psychosociale de lutte contre cette maladie s’engagent à intensifier les descentes sur terrain, afin de conscientiser la population.