Robert Mbwinga: «Il faut faire de la terre un facteur de développement socio-économique»

Production artisanale de charbon de bois dans un four installé dans une résidence à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Le ministère des Affaires foncières a reçu, depuis mercredi dernier, la visite d’une délégation de la Banque mondiale. Des séances de travail sont organisées et se poursuivent même ce vendredi 16 mai. Invité de Radio Okapi, le ministre de tutelle, Robert Mbwinga, explique que l’apport de cette institution de Breton Woods sera en principe multiforme; à la fois technique, financier et en termes de renforcement des capacités de l’administration foncière de la RDC.

«Le réforme elle-même prendra trois ans pour un coût qui n’est pas évalué en fonction de la couverture de l’ensemble de la République, mais nous allons faire d’abord des projets pilotes dans un certain nombre de circonscriptions [...] Alors, pour ces différents projets pilotes, le coût global tourne autour de 37 millions de dollars», précise le ministre des Affaires foncières.

Cette réforme, selon lui, vise à «faire de la terre un facteur de développement socio-économique du pays»

Robert Mbwinga s’entretient avec Innocent Olenga:

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