Le boom minier en RDC ne profite pas au trésor public, selon la société civile

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Hommes transportant des sacs de cassitérites de mines vers Bukavu, 2006.

Les investisseurs dans le secteur des mines en RDC gèrent quasiment seuls les investissements, sans le contrôle du gouvernement congolais, indique un rapport préliminaire publié  mardi 29 mai  à Kinshasa par 15 organisations de la société civile œuvrant dans le secteur des ressources naturelles. Ce rapport cite notamment les entreprises Tenke Fungurume Mining (TFM) et Kamoto Coper Company (KCC).

Les auteurs dudit rapport affirment avoir mené leur enquête sur la base sur l’audit du gouvernement dans TFM et KCC. Ils ont constaté l’absence de documents comptables aux sièges de ces entreprises et que les grandes opérations se font à l’étranger pour les minerais de la RDC. Ce qui occasionne, toujours d’après eux, un manque à gagner important pour le pays.

-    Quelle lecture faire de cette situation ?

Invités:

-Mabolia Yenga, Coordonnateur du programme d’appui au secteur des mines (Promines), une structure qui dépend du Ministère des mines du gouvernement central.

-Ernest Mpararo, Président de la Ligue congolaise de lutte contre la corruption. (Licoco).

-Thiery Mukelekele, Journaliste à la Radio Jedidia de Kambove au Katanga et communicateur social.

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