La police nationale congolaise a pris les dispositions de renforcer la sécurité des personnes et leurs biens pendant cette période postélectorale. Son commissariat général invite toute la population à vaquer à ses préoccupations, à ne pas céder à l’intoxication et à la manipulation dans toutes ses formes.
«Il n’y a pas de problèmes qui peuvent empêcher les enfants d’aller à l’école. Ceux là qui partent, ils savent pourquoi ils partent. Ils n’ont aucune raison de quitter le pays», a déclaré le commissaire général de la police nationale congolaise, le général Charles Bisengimana.
Il a assuré qu’«après les élections du 28 novembre sera comme avant les élections. Le 6 décembre sera une journée comme toutes les autres de l’année».
Le commissaire général de la police a appelé la population au calme et demande aux fonctionnaires de continuer à travailler librement.
Charles Bisengimana n’a pas manqué de mots pour expliquer le déploiement renforcé des éléments de la police nationale dans les milieux stratégiques de la capitale.
«Quand la police n’a pas d’effectifs suffisants la population réclame et quand nous augmentons l’effectif, il y en a qui pensent que nous nous préparons à une répression», s’est-il exclamé avant de préciser que la police ne fait que prendre ses dispositions pour sécuriser la population.
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