Discours de l’étranger sur le congolais ; un discours dangereux ?

L’attitude des Congolais face à la crise armée qui sévit dans l’Est de la RDC depuis près de trois décennies est perçue et interprétée de diverses manières par les ressortissants d’autres nationalités.

'Les Congolais sont distraits, naïfs, indifférents, lâches ou inconscients face aux affres de la guerre dans leur pays': ces qualificatifs, ces discours, souvent basés sur des préjugés, des stéréotypes, peuvent susciter des réactions parfois violentes. Ils peuvent aussi attiser des tensions ou provoquer des conflits entre communautés ou de l’animosité envers les personnes qui ont choisi la RDC comme seconde nation.

- Ces genres de discours peuvent-ils être considérés comme des discours de haine ?

- Comment les éviter et ainsi garantir la paix et la cohabitation pacifique entre nationaux et étrangers vivant en RDC ?

‘C’est le ton qui fait la panique’ reçoit :

- Maitre Gloire Manessa, porte-parole de ‘Action citoyenne de lutte contre le discours de haine’ (ACL-DH);

- et Monsieur Frederic Amani chercheur associe en sciences politiques et relations internationales a l’Université de Lubumbashi.

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